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Cluedo autour du 11 septembre

Banc Public n° 163 , Octobre 2007 , Frank FURET



Les attentats  du 11 septembre 2001, couverts quasiment en direct par les chaînes TV mondiales, ont marqué l’humanité téléspectatrice: les images d’avions pénétrant des tours,  les 2 973 morts et 24 disparus, les milliers de personnes blessées et des milliers d’autres restant atteintes de maladies induites par l’inhalation de poussières toxiques ont mythifié l’évènement. La thèse du complot islamiste a immédiatement été avancée comme explication par les autorités américaines et les grands médias internationaux , avant d’être soutenue dans le rapport de la commission officielle chargée de l’enquête (Commission Kean), publié fin août 2004. Ces évènements ont  eu d’importantes conséquences politiques et économiques tant aux USA que dans le monde.
Mais d’autres thèses avancent  que des éléments du gouvernement US ont activement planifié et aidé certains aspects des attentats. Ces versions divergentes tentent de démontrer que, techniquement,  la version "officielle" ne permet pas d’expliquer les événements du 11 septembre 2001, et, politiquement, arguent que le véritable mobile  des attentats  était de fabriquer du  consentement dans le chef de l’opinion publique concernant les futures et radicales modifications des poli

Des éléments troublants

C’est le journaliste Thierry Meyssan, auteur du livre "L'effroyable imposture", par ailleurs ensuite lynché par les grands médias officiels (y compris le Monde Diplomatique, sauf dans sa version Norvégienne), qui a ouvert le feu : Ben Laden serait manipulé par la CIA, et aucun avion ne serait tombé sur le Pentagone à Washington ; Pas de traces d’impact des ailes de l’avion et de plus, compte-tenu du point d'impact, l'avion aurait du voler au ras du sol et laisser des traces sur la pelouse devant le Pentagone. Or la pelouse est intacte. On n'y voit même pas de débris de l'avion ou des réacteurs. Il est également étrange que dès le lendemain, des pelleteuses officiellement à la recherche de débris ont littéralement labouré la pelouse, enlevant toute trace de l'absence de traces. Enfin, plusieurs témoins dont des employés du Pentagone interviewés après l'explosion sur CNN et Fox News ont déclaré qu'ils n'avaient pas vu de Boeing, mais qu'ils avaient entendu le sifflement d'un missile.
Le passeport du terroriste Mohamed Atta retrouvé intact au milieu des ruines du World Trade Center pose également question : les terroristes se trouvant dans l'avion, c'est à dire au coeur du brasier, leurs passeports auraient du être logiquement carbonisés.
Autre élément troublant: avant le 11 septembre, l'administration Bush aurait demandé au FBI de ralentir les enquêtes sur les réseaux islamistes, provoquant même la démission du numéro 2 du FBI, John O'Neill, mort le 11 Septembre au World Trade Center.

Le Carlyle Group une société d'armement aussi puissante que discrète, au coeur du lobby millitaro-industriel américain,  est l'un des grands bénéficiaires de la guerre en Irak et de l'augmentation sans précédent du budget militaire américain. Or le Carlyle Group est très lié à la famille Bush et à la famille Ben Laden.
Ensuite, l'actuel président américain et son père entretiennent depuis plus de vingt ans des relations avec la famille Ben Laden.  Un puissant banquier saoudien, beau-frère d'Ousama Ben Laden, est soupçonné d'avoir financé les réseaux d'Al Quaïda, et a constamment aidé George W. Bush dans ses activités pétrolières, le sauvant même de la faillite.

« Le Cartel Bush », une biographie de James Hatfield, explore en détail l'entourage du président des États-Unis, ses affaires, ses retournements de veste, le financement de ses campagnes électorales, son addiction à la cocaïne. On y apprend aussi que,. Notamment, un passage relatif à la société Arbusto dont George W. fut le directeur. On y apprenait aussi que la société Arbusto dont George W. fut le directeur était, par l'entremise d'un homme de paille, la propriété d'un certain Salem Ben Laden, frère aîné d'Oussama.  Hatfield aurait été menacé par les conseillers du président devant témoins et retrouvé peu après, mort, dans un motel. La police assure qu'il s'est suicidé. Sa famille prétend qu'il a été assassiné.

Une démolition contrôlée ?

Avant le 11 Septembre, jamais un incendie n’avait causé l’effondrement total d’un bâtiment à structure d’acier. Les thèses émises par des autorités reconnues ou des organismes étatiques se présentent comme des variations du postulat selon lequel les tours se sont effondrées d’elles-mêmes, c’est-à-dire de par la seule force de gravité, suite à l’affaiblissement de la structure causé par la chaleur des incendies. Ces théories sont apparues sur le champ, avant toute collecte des données, toute enquête criminelle et toute étude scientifique, en contrepoint de l'évidence de similitude des effondrements avec une destruction contrôlée. La caractéristique commune aux trois effondrements est qu’ils se firent, selon le rapport du NIST, en un temps légèrement supérieur à celui d’une chute dans le vide (11, 9 et 6.5 secondes respectivement pour WTC1, WTC2 et WTC7(dont on a très peu parlé), indiquant une absence de résistance des structures porteuses centrales, ce que l'ingénieur de structures Bazant exprime en parlant de « la chute des étages supérieurs dans un tube vide. »

Frank Demartini, mort le 11 septembre, superviseur du chantier de construction, précisait, lors d’un entretien du 25 janvier 2001, que les tours pouvaient probablement soutenir plusieurs impacts d’avions de ligne grâce à leur conception. Les tours se sont effondrées verticalement. Or elles étaient si solides que les Boeing ne pouvaient qu’en couper une partie.
130 ingénieurs et architectes d’Auckland ont présenté au Congrès Américain une thèse techniquement très étayée soutenant que les deux tours jumelles se sont effondrées à la suite d’une “démolition contrôlée” au moyen d’explosifs. Selon ces ingénieurs, toutes les colonnes extérieures d’un côté de l’immeuble, ainsi que celles proches des coins adjacents, pouvaient même être sectionnées que cela n’empêcherait pas la structure en 'tube' de continuer à remplir parfaitement sa fonction. L’opération aurait pu, selon eux,  se dérouler selon un scénario mixte: des avions pilotés par des kamikazes devaient attaquer les tours déjà minées. Même un scénario parfaitement bien rodé ne pouvait pas garantir le succès à 100%.Il était très facile de le faire dans les tours jumelles du WTC où des travaux de réparation se déroulaient en permanence. Il suffisait d’apporter quelque 400 kg de TNT ou de plastic en les faisant passer pour des matériaux de construction et de les activer au moyen d’un portable. Des témoins ont d’ailleurs confirmé qu’il y avait, avant l’attentat, de l’activité discrète dans deux étages fermés car en train d’être restaurés. D’autres jurent avoir entendus des explosions au sous-sol du WTC avant que le premier avion ne la percute. La commission d’enquête a, à ce sujet, fort opportunément omis de considérer le fait que la firme responsable de la sécurité du World Trade Center, incluant les tours 1, 2 et 7, était Stratesec (rebaptisée depuis Securacom), dirigée indirectement par Marvin Bush (actionnaire et administrateur, frère de George W.) et directement par leur cousin E. Walker III (président directeur général), de 1993 à 2002.

Le très discret effondrement de la tour 7

L’immeuble n°7 du World Trade Center était le building de 47 étages à un bloc des Tours jumelles qui abritait le Centre de gestion de crise de la mairie de New York et les bureaux de la Commission des opérations de bourse (SEC), du Secret service et de la CIA. Il n’a pas été touché par un avion durant les attentats du 11 septembre, mais s’est pourtant effondré huit heures plus tard. L’Agence fédérale de gestion des crises (FEMA) n’explique pas cet effondrement, la Commission d’enquête présidentielle l’ignore. Atteinte par des débris métalliques chauds projetés lors de l’effondrement de la tour Nord, ce gratte-ciel de 47 étages a été la proie de quelques incendies. Ce bâtiment abritait des bureaux bancaires et de compagnies d'assurances, ainsi que des bureaux occupés par le FBI, la CIA et le Département de la Défense des Etats-Unis, et  notamment de nombreux dossiers concernant les fraudes de Enron et de Worldcom, qui ont eu moins de chance que le passeport de Mohammed Atta, étant bien entendus détruits, ce qui a handicapé fortement les enquêtes en cours. Selon les experts, l’ effondrement de la tour 7 présente toutes les caractéristiques d’une démolition contrôlée.

Concernant la commission d’enquête officielle

La commission a oublié de mentionner que sa propre indépendance proclamée était fatalement compromise par le fait que Philip Zelikow, son directeur exécutif, était virtuellement un membre de l’Administration Bush puisque proche collaborateur de Condoleeza Rice.
Cette carence mnémonique s’étend aussi au fait que la Maison-Blanche chercha d’abord à empêcher la création de la Commission Officielle d’Enquête sur les Attaques, avant de placer de nombreux obstacles sur sa route, comme  lui accorder un budget extrêmement restreint. Il a fallu attendre 441 jours pour que cette Commission soit créée. Et pourquoi n’aurait-elle pas occulté que Président de la Commission, la plupart des autres Commissionnaires, et au moins la moitié du personnel avait de sérieux conflits d’intérêt ?

La Commission s’est bien vantée d’un rapport final  « sans dissension », oubliant de mentionner que cela n’avait été possible que parce que Max Cleland, le Commissionnaire le plus critique à l’encontre de la Maison-Blanche, qui avait juré « qu’il ne serait pas complice d’un traitement partial des informations », avait du démissionner pour accepter un poste à la Banque Export-Import; la Maison-Blanche transmit d’ailleurs sa nomination seulement après qu’il soit devenu très discret dans ses critiques.

Mensonges et omissions concernant les détails techniques

Concernant les détails techniques des l’effondrements, la commission Keane a omis le fait que les incendies des Tours Jumelles n’étaient ni extrêmement étendus, ni particulièrement intenses, ni même très longs en comparaison avec d’autres incendies dans des gratte-ciels (de structures) similaires, qui eux ne se sont jamais écroulés ; de plus étant donné l’hypothèse que les effondrements auraient été provoqués par l’incendie, la Tour Sud, touchée plus tard que la Tour Nord et en proie à des flammes de moindre intensité, n’aurait pas dû s’effondrer la première. Pour la commission, « le coeur de la structure de chacune des Tours Jumelles était « un puits d’acier vide » : quid de la présence de 47 massives colonnes d’acier qui constituaient en réalité le coeur de chaque tour et qui, selon la théorie de « l’empilement des étages » aurait du restées dressées vers le ciel sur de nombreuses dizaines de mètres.  La commission a aussi omis d’examiner le fait que l’acier des bâtiments du WTC fut rapidement déblayé de la scène du crime et embarqué sur des navires à destination de l’étranger AVANT qu’il puisse être analysé pour y déceler des traces d’explosifs ;  et elle a refusé toute discussion pour établir si les dommages sur le Pentagone étaient compatibles avec l’impact d’un Boeing 757 se déplaçant à plusieurs centaines de kilomètres/heure, refusant d’entendre tout témoignage contradictoire au sujet de la présence ou de l’absence de débris visibles d’un Boeing 757 que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du Pentagone.

Mensonges et omissions concernant les terroristes

La commission d’enquête a préféré ne pas se pencher sur des preuves concernant Mohamed Atta (comme son penchant signalé pour l’alcool, le porc et les danses érotiques privées – lap dances – ) qui sont en contradiction avec les affirmations de la Commission selon lesquelles il était devenu un fanatique religieux. La commission a aussi entretenu la confusion autour des preuves que Hani Hanjour était un pilote trop incompétent pour amener un avion de ligne à s’écraser sur le Pentagone.
La commission n’ a pas voulu examiner non plus, le rapport selon lequel Oussama ben Laden, qui était déjà le criminel le plus recherché des États-Unis, fut traité en juillet 2001 par un docteur américain à l’hôpital américain de Dubai et y reçu la visite de l’agent local de la CIA. ; elle a laissé de côté les rapports suggérant qu’après le 11 Septembre, l’armée américaine avait laissé délibérément Oussama ben Laden s’échapper ; ces rapports sont en contradiction avec la version officielle selon laquelle ben Laden avait été  renié par sa famille et son pays.

Mensonges et omissions concernant de troublants pressentiments:

La commission n’a pas cru utile de s’interroger sur le fait que le Ministre de la Justice John Ashcroft avait été averti d’arrêter de prendre des lignes aériennes commerciales avant le 11 Septembre. Pas plus que sur les déclarations de David Schippers qui avait, sur la base d’informations fournies par des agents du FBI à propos d’attaques prévues dans le Sud de Manhattan, tenté en vain de transmettre cette information au Ministre de la Justice John Ashcroft pendant les 6 semaines précédant le 11 Septembre ; encore moins sur les affirmations d’ agents du FBI qui auraient affirmé avoir eu connaissance des cibles et des dates des attaques longtemps à l’avance. Idem pour les rapports selon lesquels le maire de San Francisco Willie Brown et certains responsables du Pentagone avaient reçu des mises en garde sur le fait de prendre l’avion le 11 Septembre.
La comission a également omis d’étudier le compte-rendu de Gerald Posner sur le témoignage de Abu Zubaydah, selon lequel trois membres de la famille royale saoudienne (qui périrent tous mystérieusement à huit jours d’intervalle) finançaient al-Qaida et avaient une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre. La commission a bien évidemment démenti d’avoir trouvé une preuve du financement d’al-Qaida par les Saoudiens ainsi que le fait que des Saoudiens furent autorisés à quitter le territoire des États-Unis peu de temps après le 11 Septembre sans avoir été l’objet d’une enquête appropriée ; elle a aussi omis d’étudier la preuve que le Prince Bandar avait obtenu une autorisation spéciale de la Maison-Blanche pour ces vols.

La  déposition devant la Commission der Sibel Edmonds, ancienne traductrice au FBI, qui révélait de sérieuses dissimulations de la part de responsables du FBI, en relation avec le 11 Septembre, et ce au Quartier Général même du FBI n’a pas été approfondie par la commission, pas plus que la prédiction faite en 1999 par Rajaa Gulum Abbas, un agent de l’ISI, que les Tours Jumelles « s’effondreraient ».

Omissions politiques et économiques

Le fait que le Président Bush et d’autres membres de son Administration aient évoqué à plusieurs reprises les attaques du 11 Septembre comme des « opportunités » n’a absolument pas troublé la commission, pas plus que le document datant de 2000 et émanant de « The Project for the New American Century », dont de nombreux membres sont des figures clés de l’Administration Bush,  disant qu’un « nouveau Pearl Harbour » aiderait à l’obtention de fonds pour une transformation technologique rapide de l’appareil militaire américain.
Pas plus  que le  fait que Donald Rumsfeld, qui était le président de la commission de l’US Space Command et avait recommandé l’accroissement du budget alloué, ait utilisé les attaques du 11 Septembre le soir même pour s’assurer de tels crédits.  Et elle a même poussé l’angélisme  jusqu’à ne pas mentionner que les trois hommes responsables de l’échec à prévenir les attaques du 11 Septembre (le Ministre Rumsfeld, le Général Richard Myers, et le Général Ralph Eberhart) étaient également les trois principaux promoteurs de l’US Space Command.

La commission affirme aussi, par une réfutation circulaire qui présume la question résolue, que le volume inhabituel des achats d’options à la baisse avant le 11 Septembre n’impliquait pas que les acheteurs savaient à l’avance que les attaques se produiraient.

Qu’Unocal (Union Oil Company of California) ait déclaré que les Talibans ne pouvaient pas garantir une sécurité adéquate pour commencer la construction de ses pipelines (de pétrole et de gaz) depuis le bassin Caspien au travers de l’Afghanistan et du Pakistan,n’a pas non plus entamé la sérénité de la commission, pas plus que le rapport selon lequel des représentants des États-Unis dirent à l’occasion d’une rencontre en juillet 2001 que, parce que les Talibans refusaient leur proposition de développer la construction d’un oléoduc, une guerre contre eux commenceraient en octobre.

Et pourquoi cette bienveillante commission se serait-elle émue des propos tenus en 1997 par Zbigniew Brzezinski avait écrit que pour que les États-Unis maintiennent leur primauté globale, ils avaient besoin du contrôle de l’Asie Centrale, avec ses vastes réserves de pétrole, et qu’un nouveau Pearl Harbour serait utile pour obtenir l’adhésion de l’opinion publique américaine à ces visées impériales ? Ou bien du fait que des membres clés de l’Administration Bush, dont Donald Rumsfeld et son délégué Paul Wolfowitz, s’étaient démenés en faveur d’une nouvelle guerre contre l’Irak pendant de nombreuses années?

Considérations supplémentaires

Ces attentats ont été le jour même attribuée par les autorités américaines, suivies par l’ensemble des médias et la quasi totalité des gouvernements étrangers, au réseau terroriste Al-Quaïda, organisation créée par le milliardaire Oussama Ben Laden, lequel avait été recruté avec d’autres par les services secrets de l'Arabie saoudite durant la guerre froide pour alimenter la résistance moudjahiddin contre l’Union soviétique durant la première guerre d’Afghanistan. Son action était alors largement soutenue et financée par la CIA. L’ancien colonel de l’armée de terre des États-Unis Oswald LeWinter, qui fut pendant plus d’une décennie le n°2 de la CIA en Europe et le co-président du Comité clandestin de l’OTAN,  estime que la « guerre contre le terrorisme » est aujourd’hui un moyen similaire de manipulation des populations occidentales, en ce sens qu’elle désigne de nouveaux faux responsables d’actes terroristes —les musulmans—, non plus pour contrer la « menace soviétique », mais pour justifier les guerres de ressources des États-Unis. Il a affirmé avoir participé, au sein de la CIA et aux côtés du MI6, à la création d’Al Qaïda sur le modèle du Gladio. Des groupes islamiques auraient été infiltrés; des mercenaires auraient été recrutés dans d’autres milieux musulmans; et des opérations commanditées par les services secrets anglo-saxons seraient attribués aux premiers alors qu’ils seraient exécutés par les seconds.

L’histoire nous rappelle aussi qu’en 1962, pour légitimer une guerre contre Cuba, l'état-major inter-armes des Etats-Unis avait envisagé des attentats terroristes contre sa propre population. Le document du département d’état, déclassifié, révèle le plan de l'opération Northwood: une série d'attentats tuant des civils et des militaires pour mobiliser l'opinion publique contre Fidel Castro. L'état-major avait notamment planifié un attentat contre un navire de guerre et un détournement d'avion.

Enfin, signalons qu’à l’exception du Washington Note et du Financial Times, les grands médias ont décidé de ne pas rapporter les récents propos de Zbigniew Brzezinski évoquant  la possible organisation par l’administration Bush d’un attentat sur le sol des États-Unis qui serait faussement attribué à l’Iran pour provoquer une guerre.

Frank FURET

     
 

Biblio, sources...

« Les attentats du 11 septembre 2001 », Encyclopédie Wikipédia

VIDEO: 9/11 Mysteries. Une vidéo très intéressante expliquant le peu de crédibilité des thèses officielles concernant l'effondrement des tours. Enquête enquête réalisée par un ingénieur du bâtiment, sympathisant de Bush, qui voulait au départ prouver que les "théories du complot" n'étaient que fadaises, et qui est arrivé à la conclusion inverse.

« Pour le Monde diplomatique norvégien, le 11 septembre est un complot intérieur US » Reseau Voltaire

« La face cachée du 11 SeptembreA qui profite le crime? » www.syti.net

La raison l’emporte sur la propagande , Réseau Voltaire

« Ben Laden, la vérité interdite » de Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasqui


L'effroyable mensonge, Guillaume Dasqui, éd. La Découverte, avec Jean Guisnel, juin 2002: Le mensonge, c'est celui de Thierry Meyssan, selon Guillaume Dasquié et jean-Charles Brisard...

Guillaume Dasquié et Jean-Charles Brisard, sont, pour le Réseau Voltaire, des propagandistes du « choc des civilisations » 9 décembre 2007

Faux experts et vrais mensonges, 9/11 : Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié reconnaissent avoir inventé la piste saoudienne, Réseau Voltaire, 2 novembre 2006

« Excuses publiques de Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié à Khalid et Abdulrahman bin Mahfouz »

Les dossiers du 11 septembre

11 Septembre - ReOpen911.info site d’information sur les attentats du 11 septembre 2001 » 9/11 Press For Truth - VO ST FR

 
     

     
   
   


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