Dans le contexte anxiogène des alertes qui se multipliaient sur la dégradation des conditions de vie sur la Terre causées par les activités humaines, le changement climatique et la perte de biodiversité notamment, l’apparition d’une nouvelle maladie pouvant être mortelle et se transmettant facilement entre êtres humains a ébranlé la plupart des sociétés qui peuplent notre planète.
Des mesures sans précédent, inimaginables antérieurement, si ce n’est dans une réflexion de type «science-fiction», ont été prises par nos gouvernements dits démocratiques :
- interdiction de se déplacer,
- d’exercer certaines activités et professions,
- obligation de se masquer,
- ainsi que dernièrement la contrainte de se faire vacciner, c’est-à-dire de subir une piqûre d’injection d’un produit pharmaceutique dans le sang.
Ces mesures étaient justifiées par le caractère mortel de la nouvelle maladie, sa haute contagiosité et le risque de dépassement des capacités d’accueil des hôpitaux.
Elles ont été facilement acceptées par les populations visées.
Dès l’enfance, on nous éduque à gérer notre santé. Un système médico-hospitalier est à notre disposition, dont on nous incite fortement à appliquer les directives.
Actuellement, la réponse à la menace du coronavirus s’est focalisée sur des vaccins, malgré que, dès le départ, il était objecté que cette technologie ne conviendrait pas pour ce type d’infection.
Le vaccin est une technologie médicale préventive, c’est-à-dire qui vise à empêcher d’attraper une maladie. Cette technologie est utilisée lorsqu’il n’existe pas de traitement de cette maladie et également dans le but de faire disparaître, d’éradiquer un agent pathogène dans l’espoir que plus aucun être humain ne risque d’en être affecté.
Si, lors de l’apparition de cette nouvelle maladie, les traitements permettant d’en guérir n’étaient forcément pas encore déterminés, les médecins soignant les malades ont maintenant une expérience de plus d’un an et demi sur des millions de cas très bien documentés en matière de traitements.
Des traitements sûrs et efficaces ont été découverts, qui permettent de guérir rapidement sans séquelles les malades, et également de prévenir, d’empêcher de développer la maladie si on a été exposé au virus.
Le plus intéressant est un médicament appelé ivermectine dont le coût est peu élevé et la fabrication et le stockage peu compliqués.
Il est stupéfiant de constater que, malgré cela, des États continuent à vouloir imposer à leur population de se faire vacciner ! Alors que les vaccins ont des effets secondaires sérieux ou gravissimes (mortels), et surtout qu’ils ne fonctionnent pas : ils n’empêchent ni de contracter la maladie, ni de la transmettre à d’autres.
Sans vouloir être qualifiée de «complotiste», on peut se poser la question des intérêts économiques en jeu, connaissant l’intense lobbying exercé par les industries pharmaceutiques auprès des responsables politiques et des médias.
Quoi qu’il en soit, l’obligation de se faire vacciner imposée en France le 12 juillet 2021 par le président Emmanuel Macron au personnel soignant - jusqu’aux femmes de ménage travaillant dans les hôpitaux ou les résidences pour personnes âgées - et aux pompiers marquera une étape importante, qui nous a fait réfléchir et a entraîné une intense activité médiatique en langue française qui nous a permis de prendre connaissance d’une autre analyse scientifique (notamment grâce à des vidéos de médecins américains sous-titrées), sociologique et en somme d’un discours alternatif sur la nouvelle maladie covid-19 ainsi que sur la vaccination.
Des «stars» comme le médecin Didier Raoult à Marseille ou le prix Nobel français Luc Montagnier ont pris des positions répercutées par les médias du monde entier et ont été soumis à de violentes attaques médiatiques visant à les discréditer.
Pour ceux qui se demanderaient à juste titre pourquoi des personnes bien intentionnées incitent à se faire vacciner, il est utile de repenser à la panique et à l’angoisse que l’on ressent face à un péril mortel diffus. Dans le passé, de grandes religions comme le christianisme ou l’islam sont nées sur les décombres de l’Empire romain décimé par la Peste inoculée par des piqûres de puce de rats porteuses invisibles du bacille, comme établi dans l’excellent livre de Kyle Harper «Comment l’Empire romain s’est effondré Le climat, les maladies et la chute de Rome» commenté dans le Banc Public de novembre 2019.
Il est frappant de constater la fonction rassurante irrationnelle du vaccin pour ceux qui le reçoivent et leur vie sociale, alors que même les médias traditionnels ont largement répercuté qu’il ne protégeait ni de l’infection ni de la transmission du virus à d’autres personnes.
Nous considérons à l'heure actuelle qu'il ne faut pas ou plus se faire vacciner, ni laisser vacciner les enfants contre le covid-19, par respect du principe de précaution, en fonction des effets secondaires déjà connus et parce que ces injections ne protègent, de l'aveu même des firmes qui les commercialisent, ni contre le fait de contracter la maladie, ni contre la transmission lorsque l'on est contaminé.
Il faut au contraire entretenir sa condition physique, notamment les mécanismes immunitaires naturels, avec une alimentation ou des compléments alimentaires à l'efficacité prouvée (vitamines C et D), de l'activité physique, si possible à l'air libre et au soleil, un sommeil réparateur...
Imposer la vaccination avec des produits expérimentaux controversés constituerait une atteinte intolérable au contrôle de notre propre corps. Des instruments juridiques existent dans nos États de droit pour combattre pacifiquement des décisions de nos gouvernements que nous estimons nuisibles et erronées, quelle qu'en soit l'intention, qui ne permettent manifestement pas d'en finir avec cette pandémie vu l'exemple de pays comme Israël qui ont vacciné plus de 90% de leur population et doivent reconfiner..