Résultat : les cyberdéfenses de certains départements du gouvernement américain seraient au « niveau de la maternelle».
Les États-Unis auraient pris du retard en raison de la réticence de Google à travailler avec le département américain de la Défense sur l’IA et des débats sur l’éthique liée au développement de l’IA. Pendant ce temps, les géants chinois de la technologie ont été invités à travailler aux côtés de l’État sans nécessairement se soucier des problèmes d’éthique.
Dans le monde quantique. Il y a deux ans, le géant Google avait annoncé avoir atteint la « suprématie quantique ». L’ordinateur Sycamore représentait alors un pas de géant dans le monde de l’informatique quantique. Or, il y a quelques mois, des chercheurs chinois ont finalement annoncé avoir mis au point un ordinateur encore plus puissant. Les chercheurs chinois affirment que leur superordinateur est 1 million de fois plus puissant que son concurrent le plus proche, Sycamore de Google. Une deuxième machine basée sur la lumière met une milliseconde pour effectuer une tâche qui prendrait 30 trillions d'années à un ordinateur classique
De manière plus globale, la Chine ne cesse de s’illustrer sur le plan scientifique depuis plusieurs années. Dès 2017, la Chine a notamment commencé à publier plus d’articles scientifiques que les États-Unis. En ce qui concerne l’innovation, la Chine est passée devant les États-Unis en 2019 en déposant davantage de brevets, avant de conserver sa place en 2020.
Enfin, le programme spatial chinois, toujours loin derrière le programme américain, a également réalisé quelques réalisations remarquables en très peu de temps.