Dans ce contexte, la mobilisation mondiale pour aider les victimes de la catastrophe, bien que chargée d'énormément de bonnes intentions individuelles, laisse un goét amer.
Dès le 26 décembre, une polémique était rapportée par les médias concernant le fait que le raz-de-marée consécutif au mouvement de terrain sous-marin avait mis plusieurs heures à atteindre les côtes des pays sinistrés, et que si les systèmes de communication avaient fonctionné normalement, les populations menacées auraient eu largement le temps de se déplacer en se portant hors d'atteinte des flots meurtriers.
La catastrophe était donc évitable par des moyens très simples et non coûteux: coups de téléphones, déclenchement de plans d'urgence bien rodés élaborés avec les populations concernées par ce type de phénomène naturel, etc.
Au lieu de quoi nous assistons à un ballet écoeurant de secours coéteux sous le regard voyeur des caméras du monde entier, qui nous présentent honnêtement - à raison - la boue, le sang, les corps démantibulés, broyés, disloqués, ainsi que les nombreux miraculés.
Comment interpréter ce moment de l'histoire de notre planète ? Peut-être comme un événement-charnière que l'histoire retiendra comme celui de la transition entre deux modes d'organisation des nations, transition entre l'ancien monde - fait de rapports de domination par la force et d'exploitation -, et une démocratie à l'échelle mondiale, impliquant une voix égale pour chaque être humain quels que soient son âge, son sexe, son état de santé...
Car il est bien établi par de nombreux auteurs que les populations, si elles ne sont pas manipulées, ne souhaitent jamais les guerres, les famines, les destructions, mais au contraire aspirent à vivre en paix, à voir grandir leurs enfants, à pouvoir prendre soin de leurs a”nés avec respect, etc.
Même sans auteurs, chacun sait ou a pu expérimenter personnellement au cours de sa propre existence que les populations ou les individus cherchent spontanément à se rendre dans les lieux où l'eau est saine, la nourriture correcte, fuient les lignes de front des conflits armés - surtout s'ils ont des petits encore incapables de se protéger seuls et qui ont donc besoin d'eux !
Ce n'est donc pas dans la psychologie individuelle de sujets normaux que se trouve l'origine du comportement pathologique observé à l'échelle des dirigeants et des gouvernements.
Il s'agit de mouvements collectifs au cours desquels des foules peuvent, en certaines circonstances, se laisser manipuler par des dirigeants présentant une pathologie individuelle particulièrement redoutable (pour les autres):
les PERVERS.
Raison
Dès son invention par Sigmund Freud, la psychanalyse avait pour ambition, en tentant de guérir ou de soulager des personnes atteintes de graves difficultés psychologiques, d'arriver à une compréhension des mécanismes sous-jacents, qui permettrait d'aider de nombreuses autres personnes.
L'auteur lui même souhaitait à la fois se rendre célèbre par une invention qui ferait date dans l'histoire de l'humanité, et, par l'interaction avec ses patients, ses disciples, ses contradicteurs, etc, faire évoluer sa propre personnalité vers un état plus harmonieux et plus serein.
La grande question qu'il laissa irrésolue, et pour cause (seule une femme pouvait la résoudre) est celle de l'identité féminine .
Mélanie Klein, puis le grand pervers que fut Jacques Lacan, puis la merveilleuse Françoise Dolto, firent encore progresser la science psychanalytique.
Aussi nous profitons de tout cet acquis pour proposer une interprétation répondant à l'interrogation écrite ci-dessus (page 1) :
Jusqu'à présent, le monde,
c'est-à -dire ceux qui l'ont officiellement gouverné (et PAS tous ceux qui, humblement ou non, ont accompli leurs tâches quotidiennes de la meilleure manière dont ils étaient capables à ce moment-là ), a été dominé par des pervers, des personnes atteintes de la grave maladie mentale appelée "perversion", dont des sous-ensembles sont :
- les pédophiles (pervers sexuels),
- les violeurs (idem),
- les pervers Intellectuels - qui, à la fois, se disent prêts à discuter avec vous à armes égales (et "que le meilleur gagne"), mais, simultanément, ne pouvant en fait supporter de perdre ce combat prétenduement loyal, vous tirent la Carpette de sous les pieds lorsqu'ils sont sur le point de perdre, au moyen d'arguments d'Autorité, par exemple,
- certains assassins comme par exemple Nestor Pirotte,
- les malheureux atteints de la Folie des grandeurs,
- etc.
Ces pervers, le plus souvent masculins, ont pour point commun une image totalement méprisée de la femme, traitée comme un objet, une poupée gonflable, un faire-valoir, ou au contraire terriblement idéalisée et placée sur un piédestal inaccessible à aucune d'entre nous, qui ne sommes que des humaines faillibles - non des déesses.
Quand la perversion gouverne le monde, elle peut manipuler des populations entières pour leur faire croire qu'il est juste et bon de partir trucider un peuple voisin, de sacrifier une génération entière de jeunes hommes dans une orgie de fer et de feu, une souffrance indicible, alors que chacun(e), individuellement, n'aspire qu'à survivre, fonder une famille, protéger les siens, voir son fils revenir sous son bouclier et non un cadavre porté dessus en triomphe par ses compagnons d'armes !
Et Sentiments...
Or donc, il y a des pervers, et des non-pervers. Mais comme chacun de nous peut se tromper, qu'est-ce qui permet la discrimination à un moment donné, dans une situation donnée ?
En d'autres termes, j'ai raison, et j'estime que vous avez tort. Ou vice versa...
Par exemple, vous êtes un pédophile et, pour vous, l'enfant que vous avez violé, à mon sens, était pour vous consentant, la preuve en étant évidemment les "avances" qu'il (elle) vous avait faites, en vous "provoquant", qui ne pouvaient avoir d'autre explication que son désir -conscient ou inconscient- pour Vous.
Comme la psychanalyse établit le principe de plaisir et la recherche de la satisfaction des désirs comme un des moteurs positifs de la vie, vous avez agi de façon correcte en ayant une relation sexuelle avec lui ou elle, malgré les interdits castrateurs établis par une société frileuse et bigote.
Qu'est-ce qui permet de découvrir lequel de nos deux discours est le bon ?
C'est le principe de réalité, c'est-à -dire également l'expérimentation dans les sciences exactes, qui permet le choix entre plusieurs théories également séduisantes: celle qui sera finalement (et provisoirement, puisque les bons scientifiques ne considèrent jamais aucune théorie comme définitivement acquise et ne pouvant plus jamais être remise en question:
il s'agirait alors d'un dogme stérilisant la pensée, qui elle ne doit jamais se soumettre pour pouvoir continuer à être) retenue sera celle qui permettra d'approcher au mieux les résultats des mesures expérimentales.
Dans le cas du pervers pédophile, ce qui permet de trancher entre son discours et le mien, c'est la parole de l'enfant.
C'est le vécu de l'enfant tel qu'il nous le rapporte, sa souffrance ou au contraire son absence de souffrance dans le cas par exemple d'une relation sexuelle librement consentie entre adolescents ayant atteint la maturité sexuelle, mais que leur âge ou leur différence d'âge fait entrer dans une des catégories pour lesquelles le législateur a voulu instaurer des garde-fous permettant à la société de s'assurer de la réalité du consentement des mineurs en cause, pour les protéger .
Gravitation.
Dans le cas du Tsunami, dont la date, juste après l'Equinoxe, à partir de laquelle les jours recommencent à cro”tre dans l'hémisphère Nord, à une période où les Astronomes et les grands médias attirent notre attention sur la configuration astronomique rare entre la Terre, les planètes Vénus et Mars, et le Soleil, qui ne se reproduira pas avant plusieurs centaines d'années, la réorganisation des plaques continentales, dont on sait qu'elles reposent sur un magma en fusion sous la croéte terrestre, dont les éruptions volcaniques avec coulées de lave sont des signes, est tout sauf un hasard imprévisible - depuis des millions d'années les humains observent, notent, tentent d'expliquer les phénomènes astronomiques, d'en tirer des enseignements sur le climat, de s'en servir pour naviguer sur les Océans, où l'on doit tracer sa route sans point de repère terrestre, etc.
De la même manière que les scientifiques et, bien avant eux, les braves gens de bon sens, ont observé les corrélations entre les marées et la position de la Lune par rapport à la Terre et au Soleil, il n'est pas étonnant qu'une configuration astronomique particulière et spéciale de la planète MARS - proche particulièrement longtemps de la Terre vu la coïncidence actuelle de leurs trajectoires autour du Soleil - ait pu induire un effet d'attraction renforçant celui de la Lune sur les masses terrestres (c'est la Lune qui provoque le phénomène des Marées par l'attraction que sa masse exerce sur les masses d'eau mobiles des Océans), un effet d'attraction sur la croéte terrestre et le Magma situé sous la surface solide de la Terre, qui ait entra”né des pressions et des forces gigantesques aboutissant à la rectification d'une des failles intertectoniques (comme si l'on avait délicatement étiré un ballon de football légèrement dégonflé, et que les plaques de boue séchée collées à sa surface s'étaient redisposées en formant une surface plus sphérique, moins discontinue).
Soi dit en passant, cette "catastrophe", qui n'en aurait pas été une si on avait pris des mesures de prévention ultra-simples et bon marché comme expliqué ci-dessus, est aussi un Miracle dans la mesure où les forces de cisaillement qui s'exerçaient sur la faille traversant l'Océan Indien jouaient sérement un rôle dans de nombreux tremblements de terre et autres phénomènes naturels catastrophiques observés ces dernières années dans ces régions ou les régions voisines, qui pourraient donc être observés statistiquement beaucoup moins nombreux en ce début de troisième millénaire...
c.q.f.d ?